Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Lutte contre la délinquance : la rentabilité au détriment de la sécurité !

10/12/2009 14:34

Lutte contre la délinquance : la rentabilité au détriment de la sécurité !


"Un poulet en colère peut très vite devenir un coq de combat"
 
Policiers asphyxiés ! Citoyens vaches à lait !" Le slogan jaillit d'un énorme haut-parleur parqué devant le 1, boulevard de Bercy dans le 12e arrondissement de Paris. Plus habitués à maintenir l'ordre qu'a vitupérer contre le pouvoir en place, plusieurs centaines de policiers ont néanmoins répondu, jeudi 3 décembre, à l'appel à manifester du premier syndicat de gardiens de la paix, l'Union SGP-FO/Unité police. "Tous ensemble ! Tous ensemble !" tonne la police... dans le calme.
Les gardiens de la paix ont beau avoir laissé leurs uniformes au vestiaire, ils ont tout de même conservé leur sens de l'ordre. Bien groupés sur le large trottoir qui borde le ministère des finances, les policiers en colère ne troublent pas l'ordre public et dénoncent d'une seule voix "la politique de chiffres" à laquelle ils se disent soumis. Une politique qui nous "éloigne du métier de police pour lequel on s'est engagé" témoigne un gardien de la paix des Yvelines, en bleu depuis vingt ans.
"SI JE CONSTATE UN DÉFAUT D'ASSURANCE, C'EST UNE ÉLUCIDATION"
"Notre hiérarchie nous soumet à une pression constante pour obtenir des résultats qui n'ont rien à voir avec notre mission de maintien de l'ordre public" poursuit Axel, policier depuis dix ans. "Nous sommes notés en fonction du nombre de timbres-amendes qui entrent dans les caisses et du nombre d'affaires résolues, explique une jeune femme. Mais une élucidation d'affaire peut prendre plusieurs formes : si je constate un défaut d'assurance, c'est une élucidation. Si j'arrête un dealer, c'est une élucidation également. Lorsque la brigade reçoit le message d'augmenter ses statistiques d'élucidation, il est plus rentable de se poser au coin d'une rue un peu roulante et de faire du contrôle routier que de traquer des délinquants. La hiérarchie préfère les bons chiffres."
"Il faut faire la police et des économies", déplore également Lauraine, dans la police depuis cinq ans. "Si on repère un trafic et que le suspect prend la fuite, nous devons parfois ne pas le poursuivre car nous risquons d'abîmer nos véhicules qui sont déjà en bout de course. Je n'ai pas choisi ce métier pour avoir à faire ce genre de choix", explique-t-elle. Jean, vingt ans de maison, estime que le tournant a eu lieu avec le millénaire : "Depuis le début des années 2000, nous n'avons plus les moyens de nos missions. Notre véhicule break affiche 160 000 km au compteur, poursuit Benoît. "Une partie de notre matériel informatique, c'est de la récup' dans les bureaux d'une compagnie d'assurance qui a fermé boutique", raconte un autre gardien de la paix.
"SI NOUS INTERVENONS, CELA DÉGÉNÈRE"
Souvent le choix de ne pas intervenir est lié au rendement attendu. Une logique qui a créé des zones de non-droit, reconnaissent du bout des lèvres les policiers."Des quartiers sont devenus imperméables aux forces de police. Si nous intervenons, cela dégénère, et nous devons mobiliser d'autres collègues. Et pour finalement quel résultat ? Les interventions ont un coût", expliquent plusieurs membres d'une même brigade.
Gardiens, gardiennes, jeunes bleus ou vieux routiers du macadam francilien, la plupart soulignent le sentiment d'être dirigés à vue, en fonction de considérations politiques et médiatiques immédiates, loin du rôle du policier dans la société. "Une semaine nous devons axer notre action sur les sans-papiers, la semaine suivante sur les délits routiers, la troisième sur les bandes... cela n'a pas de sens. La police doit avoir constamment une action globale et sur le long terme", rappelle un brigadier.
"Un poulet en colère peut très vite devenir un coq de combat", lance à ses collègues Nicolas Comte, secrétaire général de l'Union SGP-FO/Unité police avant d'égrener les autres raisons qui ont précipité la police dans la rue : le paiement d'heures supplémentaires, les disparités avec les gendarmes concernant les logements de fonction et les réductions SNCF, le maintien du régime spécial de retraite et l'acquisition d'une équivalence catégorie B de leur statut de fonctionnaire. Des revendications ambitieuses... à l'approche des élections professionnelles de janvier 2010.
Eric Nunès





"Faire respecter la France et ses symboles" dit Eric Besson. Mon oeil !

09/12/2009 10:56



"Bonjour, Pour faire suite à ce lien, une information que je garantis réelle à 100%. La scène se déroule le soir du 2ème match Egypte-Algérie, à Toulouse, sur la place du Capitole, la Mairie. Comme bien souvent, un très grand nombre de personnes issues des "minorités" étaient regroupées en masse. Comme toujours, un fort effectif de Police était déployé sur place. "Au cas où".
Des jeunes (désœuvrés, évidemment, les pauvres !) ont escaladé la façade pour accéder aux drapeaux. Il y avait le drapeau européen (bien entendu), le drapeau de la croix Occitane et (quand même) le drapeau Français. Les jeunes ont enlevé un drapeau. Devinez lequel ? Notre drapeau national, évidemment ! Mais que fait la Police ? Eh bien, devant la foule de nombreux badauds, les policiers ont reçu l’ordre de ne pas intervenir.
Mais ce n’est pas tout. Les jeunes ont disposé un drapeau algérien à la place du drapeau Français. Oui, oui. C’est la vérité. Devant les policiers écœurés, ces pauvres jeunes sont tranquillement redescendus. Sont-ils repartis chez eux pour faire la fête ou dans leurs doux foyers ? Eh bien non ! Ils ont brulé le drapeau Français sur la place du Capitole, à Toulouse, France.
Tout ça devant plus d’une cinquantaine de policiers dégoutés. Aux demandes répétées par radio des fonctionnaires de Police pour intervenir, il a été répondu par la hiérarchie que ces actes étaient "festifs" (je cite). Alors, peut-être que quelque chose m’a échappé ! Suis-je le seul à me souvenir d’un texte de loi réprimant ce genre de comportement ?
Si même la Police ne peut plus faire respecter la loi et les règlements, n’est-ce pas la fin de la démocratie ? A vous de juger.
David, policier à Toulouse. "





820 000 euros – Une vie de smicard !

09/12/2009 05:44

820 000 euros – Une vie de smicard !


Raymond Domenech percevra donc bien 820 000 euros pour le match de qualification de l’équipe de France.
Dans le tourbillon des chiffres en millions, cette somme a surtout choqué, compte tenu des performances plus que moyennes du fameux sélectionneur.
Mais au-delà même du jugement sur ses compétences, regardons en face l’indécence d’une telle somme. Domenech touchera comme cela, en une fois, comme un petit bonus, plus que n’aura touché tout au long de sa vie professionnelle… un smicard !
J’entendais à la radio le Président de la Fédération française de football qui s’indignait que l’on puisse s’indigner. En un mot, circulez, il n’y a rien à voir !
Comme pour le bonus des banques, l’arrogance des castes est devenue telle qu’elle dénie même au simple citoyen de s’offusquer de cette folie des grandeurs.
Le summum de l’outrecuidance est d’ailleurs atteint cette semaine avec l’affaire Tapie. Après le jugement d’un Tribunal arbitral dont l’opportunité était plus que contestable et la composition comme cousue main par l’Elysée, Bernard Tapie va récupérer de 45 à 108 millions d’euros selon le Journal Libération !
Et dire que pendant ce temps le gouvernement prétend faire la leçon sur l’identité nationale, les valeurs de la République, l’intégration par le travail, etc. Drôle de morale républicaine, drôle de sens de l’intérêt général…
Mais, en toute franchise, que peuvent penser certains jeunes à la dérive, de quelque couleur qu’ils soient, face à un tel spectacle ? Qu’il faut travailler dur à l’école pour réussir à décrocher un SMIC à raison de 8 heures par jour ? Ou que tout est bon pour « faire du fric », rouler en voiture de sport, narguer les autorités, s’affranchir des lois, bref faire régner sa propre loi, celle du plus fort ?
Combien de temps le peuple français pourra-t-il supporter cette montagne d’injustice ?
NDA





Identité nationale : un débat détourné

08/12/2009 12:59

Identité nationale : un débat détourné


Dans une tribune publiée par le quotidien Le Monde le 5 novembre 2009, NDA donnait son point de vue sur le débat lancé par Eric Besson à propos de l'identité nationale. Il y dénonçait un débat tronqué à des fins électoralistes, engagé par un gouvernement qui a précisément beaucoup à se faire pardonner tant ses politiques heurtent le modèle national et républicain.
Le quotidien Le Monde a publié jeudi 5 novembre un point de vue de NDA à propos du débat sur l’identité nationale, lancé par le gouvernement. Nous en proposons ici une version augmentée.
L’identité nationale n’est pas un slogan électoral !
Pauvre Nation ! Après avoir été abandonnée, raillée, la voilà désormais, à la veille de chaque échéance électorale, instrumentalisée comme on sort une vieille relique lors des grandes processions.
L’identité nationale est à la mode !
Cruel paradoxe de voir ceux qui ont toujours moqué « l’exception française » soudain s’en emparer pour masquer l’échec de leur politique qui, de fait, la remet en cause.
Car l’identité nationale n’est pas un objet qu’il faudrait, à intervalles réguliers, vénérer pour faire oublier la dureté des temps ; pire en faire un thème de discorde pour rassembler le camp des soi-disant « bons Français » contre celui des « mauvais ».
L’identité nationale doit, à l’inverse, être une dynamique de rassemblement, sous-tendue par des valeurs, une histoire partagée, une pluralité de terroirs et d’arts de vivre, des institutions et les grandes lignes d’un projet de société. Qu’est-ce qu’être français ? C’est un « vouloir vivre ensemble », assis sur un tempérament collectif patiemment mûri par les siècles, qui suppose des politiques publiques ambitieuses au service d’un idéal.
Car oui ce plébiscite de tous les jours, cher à RENAN, ne tombe pas du ciel pour être partagé par le plus grand nombre. Il doit être ardemment désiré et méticuleusement bâti par les Elus du peuple.
Ce vouloir vivre ensemble a un nom : la République.
Il a un idéal : liberté, égalité, fraternité.
Il a un acteur central, l’Etat, creuset de la Nation à travers les âges, qui, par delà les régimes et les alternances, demeure le gardien de l’intérêt général, contre l’emprise des féodalités et des intérêts particuliers.
Enfin, ce vouloir vivre ensemble a une langue, le français, qui fédère les citoyens et forge la communauté nationale, en lui offrant notamment le socle d’une civilisation singulière.
Cette République française est exigeante avec, en premier lieu, un devoir d’exemplarité que les anciens appelaient la vertu. Une vertu qui doit être incarnée par ses élites si elles veulent être suivies. Comment le pourraient-elles aujourd’hui tant elles font honte ?
La République est exigeante car elle doit apporter l’ordre et le progrès. Or, de nos jours, l’anarchie économique s’accompagne de la régression sociale et du désordre dans la rue.
Il ne sert à rien d’organiser des débats dans les Préfectures sur l’identité nationale si la souveraineté populaire, le pouvoir du peuple par le vote de décider de son propre destin, est transférée à Bruxelles ; si l’on réduit les effectifs de Police et que l’Etat régalien n’a plus les moyens de jouer son rôle ; si l’école n’incarne plus un espoir de promotion sociale ; si on laisse se développer les ghettos et les communautarismes contraires à l’indépassable unité du peuple français et à une citoyenneté laïcisée qui définit, précisément, l’appartenance à la Nation ; si l’Etat aménageur du territoire déserte, livrant à elles-mêmes des collectivités locales fiscalement rabougries et ne pouvant compter que sur la mise à contribution de leurs propres habitants pour équilibrer leurs comptes ; si les responsables politiques, économiques et scientifiques laissent tomber le français ; si la fiscalité tond les classes moyennes et épargne les plus riches ; si, enfin, les services publics sont privatisés tandis que les entreprises délocalisent à tour de bras et n’offrent plus les emplois qui permettent de vivre dignement.
En définitive, la République est exigeante car elle suppose avant tout le respect du peuple. Un peuple qui n’est pas dupe de la démagogie et de l’impuissance publique qui sont, en fin de compte, les deux faces d’une même médaille : celle du renoncement au modèle français.
L’introspection collective sur l’identité nationale, à laquelle prétend nous inviter le pouvoir, devrait mener à revisiter et remettre en perspective ce qui nous rassemble tous, fondamentalement, par delà les origines, les religions, les chapelles, les intérêts et les partis. Ce, afin de rendre plus forts les Français du XXIème siècle, de leur rendre amour et estime de leur pays. « Le patriotisme, c’est aimer son pays, le nationalisme, c’est détester celui des autres. », affirmait Charles de Gaulle. Oui, nous avons besoin, à nouveau, d’estimer et d’aimer la France pour ce qu’elle est, en en acceptant l’identité politique, linguistique et historique. Non, il n’est pas souhaitable de la réduire, par électoralisme, à une définition ethnique et culturelle, nationaliste, au prix d’un renoncement à son modèle d’assimilation républicaine.
En cédant à la tentation de fourvoyer le débat sur l’identité nationale, Nicolas Sarkozy va affaiblir la Nation parce qu’il va la diviser là où il devrait la rassembler, et parce qu’il va l’enfermer dans la fausse alternative entre, d’un côté, un nationalisme antirépublicain et, de l’autre, un communautarisme antinational.
Alors oui, l’identité nationale retrouvera sa dynamique quand l’action publique redonnera un sens au fait d’être français.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du Rassemblement Gaulliste Debout La République





Homme de l'ombre ombrageux !

08/12/2009 12:54

Homme de l'ombre ombrageux !


La Voix du Nord et France 3 Lille se posent la question de savoir si Daniel Percheron, qui souffre d’un déficit de reconnaissance, est modeste ou discret. Pour tous ceux qui ont approché le « vieux cheval » de la politique régional, un constat s’impose : Mr Percheron est tout sauf modeste. Alors, discret ? Certainement, où plus exactement secret. Spécialiste de l’action dans la coulisse, des peaux de banane et de la pirouette, décernant satisfecit et remontrances aux barons locaux dont il provoque parfois la chute. Manœuvrier à outrance, il a finis par lasser un nombre élevé de militants socialistes qui ont depuis quitté le giron des fédérations Nord et Pas de Calais sans aucune envie d’un retour au bercail. Au niveau local, on peut lui attribuer, avec Albert Facon, la contribution à la chute du socialisme sur Hénin Beaumont qui était pourtant réputé comme un bastion de gauche. Sur le plan de l’action personnelle au niveau régionale, nous retiendrons le chiffre de 8 %. Ce chiffre représente le nombre d’habitants du Nord / Pas de Calais qui l’identifie comme Président du Conseil Régional. Preuve s’il en est de l’échec de son action. C’est sur ce bilan régional catastrophique qu’il devra rendre compte et nous invitons dés maintenant les électeurs à le sanctionner sévèrement.

 

 

Le Comité Local DLR

 



Commentaire de cimares (22/12/2009 11:05) :

Ne le sous estimez pas pour autant: C'est cet homme qui, en 1973, a su remettre la fédération du PS du Pas de Calais dans le giron de Mitterrand au détriment des amis de Guy Mollet. Le tout avec la complicité de Jean Marie Alexandre. Voilà un éclairage qui peut vous aider à comprendre Hénin Beaumont en 2009.... Les mêmes qui, en 1973, expliquaient que les anciens de la SFIO, ça suffisait ! 36 ans plus tard, qui est toujours aux affaires? Mais ils ont fait en sorte que personne ne puisse reconduire l'action qu'ils ont eux mêmes entreprise. Avec les méthodes visant à tout contrôler, ils ont su faire croire qu'ils n'étaient pour rien dans le déclin de cette région ! Quand ouvrirons nous donc les yeux ? Et c'est un authentique socialiste que vous l'exprime.





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